Selon les opportunités, travailler à temps partiel est possible pour le nomade digital. Je vais relater du cas de Brendan un Canadien.
Le parcours atypique de Brendan
Au départ, Brendan aspire à devenir développeur web salarié. Il rêve d’exercer ce métier en tant que digital nomade.
Toutefois, l’occasion ne s’est pas présentée selon ses souhaits. Actuellement, Brendan est développeur à temps partiel dans le nord de la Floride à Jacksonville.
En 2016, Brendan démissionne pour participer à un bootcamp de développement web. La formation dans 8 semaines à temps plein au cœur de Montréal.
Par la suite, il démarre une carrière de développeur Javascript durant 2 ans. Ensuite, il travaille temporairement dans un café au Mexique.
Entretemps, il postule aux Etats-Unis et décroche un job à mi-temps de développeur.
Un travail à temps partiel pratique
Fin 2018, Brendan est embauché à temps partiel à titre de développeur de logiciel. Il travaille pour une organisation publique.
Sa mission revient à effectuer du développement web. Son client premier est une compagnie d’assurance pour le développement d’un réseau de paiement.
Pour l’heure, il n’est pas en remote. En effet, il exerce auprès de bureaux à Jacksonville.
Cette ville est frontalière avec l’Etat de Géorgie
La mode d’approche du digital nomade à temps partiel
Chaque semaine, le temps partiel concerne les lundis, les mardis et les mercredis. Comme Brendan dispose d’une totale liberté du jeudi au dimanche, il se consacre au voyage.
Le Texas constitue sa ville de base. Parfois, l’entreprise lui paie un billet vers une ville limitrophe.
Durant ses trois premiers mois de travail, Brendan a eu le temps de visiter Miami, San Francisco, Dallas, Austin ou encore Savannah.
Les voyages limités de Brendan
Comme il doit demeurer à Jacksonville toutes les semaines, Brendan ne peut voyager ailleurs. Il découvre les villes américaines au fur et à mesure.
L’idéal pour ce globe-trotter est de visiter l’Europe surtout la France ou encore l’Asie. Il cherche toujours le contrat qui lui permet d’être digital nomade à temps plein.
La situation actuelle de Brendan
Les revenus générés par l’emploi à mi-temps permettent de régler les frais de déplacement ainsi que les hébergements ponctuels. Les contraintes du digital nomade portent sur la gestion des vêtements à emmener et la planification des tâches à exécuter.
Brendan ambitionne de créer son propre business. Selon lui, un digital nomade salarié peut travailler comme développeur, éditeur vidéo, ingénieur du son.
Pour les jobs moins techniques, il est possible d’être traducteur, assistant des opérations. Nomadlist, Dynamitejobs sont les plateformes à consulter.
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Crédit Photo : hefp.swiss
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